C’était une gentille famille. Le père, régulièrement, allait pêcher sur le lac et, l’enfant, aimait bien rester au bord de l’eau sous le regard de sa mère.

Ce parc était un enchantement tant les fleurs étaient belles. Elles aimaient y venir régulièrement, en belle saison, afin de profiter de ces instants de calmes  remplis de couleurs.

Une gentille visite à une amie et sa petite fille, quelques instants ensembles à parler de tout et de rien, n’est-ce pas cela aussi le bonheur ?

Quelques instants passés dans le jardin, avec des amis, et la journée n’était plus la même. Le bonheur tient, parfois, à peu de choses

Les couples s’étaient formés et, sur une composition de Johann  Strauss, dansaient des valses qui se succédaient et cela toute la nuit. Quelques petits rats de l’opéra avaient été invités également et ils ouvraient des yeux émerveillés.

Elle avait posé son violon et laissait vagabonder sa pensée vers celui qu’elle attendait. Il devait venir bientôt, mais les jours semblaient ne pas vouloir passer…

La vie s’écoule le long de cette rivière paisible. Une famille heureuse et qui aime ce lieu vit ici. La nature est abondante en belles choses et l’air sent bon. Le bonheur, peut-être…

Un phare, venu là par hasard, décida, un  jour, de surveiller les flots. Il s’installa en bordure de l’eau et, afin qu’on le remarque, fit des signes la nuit avec son éclairage. Depuis, le monde entier l’a copié.

Il fallait mériter sa nourriture, à cette époque. D’abord la trouver et, ensuite, devoir combattre afin de survivre. Moins de gaspillage…peut-être.

Seule, avec ses pensées, elle avait vu le bateau partir. Il emmenait ses espoirs et ses projets. La tristesse était en elle et,  elle se disait que, parfois, la vie était cruelle.